Une poignée de poèmes (45) pour mettre en train une journée fragile, fébrile, lumineuse, volontaire…
D’un geste, d’un regard, d’un son émergent des images, des étonnements, des inquiétudes, des joies.
Ils forment un bouquet d’impressions et traduisent par touches sensibles le rapport fragile entre perception, réalité, conscience.